Je vous ai dit que j'avais lu 3 livres en juillet.
N°2°
SOLAK de Caroline Hinault
"Sur la presqu’île de Solak, au nord du cercle polaire arctique, trois hommes cohabitent tant bien que mal. Grizzly est un scientifique idéaliste qui effectue des observations climatologiques ; Roq et Piotr sont deux militaires au passé trouble, en charge de la surveillance du territoire et de son drapeau. Une tension s’installe lorsqu’arrive la recrue, un jeune soldat énigmatique, hélitreuillé juste avant l’hiver arctique et sa grande nuit. Sa présence muette, menaçante, exacerbe la violence latente qui existait au sein du groupe. Quand la nuit polaire tombe pour plusieurs mois, il devient évident qu’un drame va se produire. Qui est véritablement la recrue ? De quel côté frappera la tragédie ?
Dans ce premier roman écrit « à l’os », tout entier dans un sentiment de révolte qui en a façonné la langue, Caroline Hinault installe aux confins des territoires de l’imaginaire un huis clos glaçant, dont la tension exprimée à travers le flux de pensée du narrateur innerve les pages jusqu’à son explosion finale."
J'ai adoré l'écriture et la puissance de la description de cet univers clos, une lecture en apnée.
N°3
TUEZ SKRIPAL! de Jean-Claude Bartoll
"Tuez Skripal ! est un thriller géopolitique fondé sur une histoire vraie qui a monopolisé l’attention médiatique en 2018 et 2019. La fiction vertigineuse élaborée par l’auteur va à rebours des idées reçues…
Sergueï Skripal, un ancien espion militaire russe exilé en Angleterre, et sa fille sont retrouvés inanimés dans un jardin public de Salisbury. Overdose, conclut la police locale. Mais les services de renseignement anglais et européens soupçonnent un empoisonnement à l’arme chimique.
L’agresseur des Skripal a-t-il été commandité par le Kremlin ? La Première ministre britannique en est convaincue. Poutine, lui, nie farouchement. Entre l’Angleterre et Moscou, Paris, Prague, Dubaï et Washington, deux anciens de la DGSE, Ava Garnier et Joss Kerven, mènent une enquête à haut risque pour le compte de l’European Intelligence Agency sur cette affaire moins évidente qu’il n’y paraît."